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Ils l'ont ensuite poursuivis, l'atteignit, le renversa avec la crosse de leurs fusils, et battues sa tête jusqu'à ce qu'il était aussi immobile dans la mort. Un des Choctaws, dans ses coups frénétiques, cassé la crosse de son fusil. Ils ont ensuite tiré hors du pistolet de la crique qui a été tué, et l'un d'eux prononça le cri de guerre qui a été entendu par le reste de la partie. Ces deux sauvages tirèrent leurs couteaux à scalper et couper les têtes des deux leurs victimes. Comme l'ensemble du corps cameshing place, ils ont trouvé les cadavres sanglants des tués, avec leurs têtes désunies proximité. Chaque indienne avait une guerre-club. Avec ces armes massives chaque sauvages, à son tour, a donné les têtes mutilées un coup sévère. Quand ils avaient tous effectué cet acte barbare ABILIFY, Crockett, dont le type particulier de bonne nature l'a conduit non seulement au désir de plaire aux sauvages, mais aussi pour savoir ce qui leur plaire, saisit une guerre-club, et, à son tour, frappa de toutes ses forces, les têtes ensanglantées mutilés. Les Indiens étaient tout à fait ravis. Ils se sont rassemblés autour de lui avec nts très expressives de la satisfaction, et lui tapotant sur le dos, a hurlé, «bon guerrier! Bon guerrier! " Les Indiens ensuite scalpés les têtes, et, laissant les corps sans sépulture, tout le parti est entré dans une piste qui a conduit à la rivière, près du point où les deux tipis étaient debout. Comme ils ont suivi le chemin étroit ils sont venus sur les vestiges d'un el et sanglante tragédie. Les cadavres vermoulues d'un Espagnol, sa femme, et ses quatre enfants étaient éparpillés autour, tout scalpés. Notre héros Crockett, qui avait si vaillamment frappé les têtes désunies des deux ruisseaux qui avait été traîtreusement assassiné, avoue que le spectacle révoltant des blancs, scalpé et la moitié dévoré, fit frissonner.